“La reflexion personnelle est l’école de la sagesse.”

Réflexions

Bienvenue dans l'univers des réflexions de Louis Bachoud...

Le manque de réflexion est la cause de tous les malheurs que l'homme s'attire, car chez lui rarement la seconde idée s'accorde avec la première. Ce qui prouve qu'il a souvent lieu de changer ou de corriger les premières ; c'est une leçon qu'il se donne souvent à lui-même, et qui malgré cela, suffit rarement, pour lui apprendre à se conduire par la suite avec précaution.
Citation de Guillaume Penn : Fruits de l'amour d'un père (1790)

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CHARTE D'UNE REVUE DEMOCRATIQUE

Pas de partis politiques. Pas d’idéologie. Pas d’émotion. Rien que la raison raisonnante.  La faculté humaine de connaître et de juger.
Aujourd’hui la raison se meurt. L’opinion et l’émotion  sont maîtresses dans les échanges entre groupes, peuples, sociétés et individus.
Les idéologies deviennent des religions  et le pouvoir d’une idéologie sur une nation, une société, enrichit uniquement ses croyants.


Le « Changement » n’est pas une revue de plus mais remet le journalisme à l’analyse des causes des faits et à l’étude des solutions apportées par la raison, le bon sens.
La mort programmée de nos sociétés par la révolution démographique, l’intrusion du numérique, la financiarisation, la globalisation, sont un constat consensuel auquel chacun propose sa solution idéologique.

Qui ne voit que la « modernité » est en fait le retour vers l’obscurantisme?
Les mots  dans le monde de Big Brother, Big Data sont inversés.  Le ministère de l’Education Nationale fabrique des ignorants. L’école est aujourd’hui  une usine de déqualification massive. Pourquoi ?
On ne parle que de paix et l’on se réjouit d’avoir vendu des armes pour que les guerres continuent. Pourquoi ? Pour qui ?
On ne parle que de répartition des richesses et jamais quelques individus n’ont possédé une telle  fortune qui leur donne le vrai pouvoir. Pourquoi ? Pour qui ?

Plus de hold-up sur les mots. Civilisation, culture, peuple, nation, sociétés sont conceptualisés par chaque parti, chaque opinion, les électorats, les experts. Les mots sont définis et la fondation d’une culture commune commence par le langage.

Plus de contre-vérités chiffrées ou non ! Toute assertion, toute donnée doivent être prouvées et si elles ne le peuvent elles ne sont qu’hypothèses. Une démocratie ne peut vivre qu’avec un électorat gouvernemental et  protestataire responsables partageant déjà  un agrégat  solide de valeurs communes.

Quel gouvernement a tenté de définir, aujourd’hui, pas avant-hier dans le Gaullisme, hier dans le Mitterrandisme, mais actuellement, les éléments concrets et immatériels nécessaires pour faire l’assemblage solide d’une démocratie française qui vive?  La langue est l’outil essentiel d’une culture commune. Combien d’illettrés? Selon les sources : de deux millions cinq cent mille à 7% de la population jusqu’à 19,7%   avec des difficultés de lecture.

Ne pensez-vous pas que tout commence par un langage avec  ses nuances, en commun ? La langue est le lien possible.

Tout commence par la définition des priorités indispensables dans la vérité et l’exactitude pour définir les solutions réalistes au maintien d’une vraie démocratie et éviter la ploutocratie  et/ou l’oligarchie qui se mettent en place.

Voici donc dans le désordre politique  mondial, en regard des déficits budgétaires, des crises sociétales, des communautarismes larvés, des pertes de pouvoirs d’achat pour les roturiers, des peurs ancestrales face aux religions et aux immigrations et des colères compréhensibles, imposés aux Français dans une Europe sans âme et sans avenir, le projet obligé :
- Remettre aux français la culture qui les rendent à nouveau responsables dans une liberté démocratique ;
- Etudier avec honnêteté l’état de la démocratie française ;
- Définir les priorités qui s’imposent pour la sauvegarder dans le respect et la liberté des citoyens ;
- Faire l’inventaire du possible immédiat et du long terme ;
- Reprendre les hypothèses quand des crises, et elles sont proches, bouleverseront les données ;
- Respecter les projets présentés dans leurs termes matériels et immatériels, ou dire pourquoi ils ne le sont pas.

Plus de lois rédigés par les gouvernements à la va-vite pour prendre de l’importance dans les médias ou  étouffer l’important. Les problèmes des communautés sous toutes leurs formes sont des faux problème.  Il n’intéresse que la sphère privée et c’est une erreur d’en faire un problème de droit. Le droit communautaire fracture la société  et crée une incitation à des demandes de droits par d’autres communautés et… ainsi de suite. Il est plus simple de vivre sa liberté en toute responsabilité dans une culture du respect. Parlons donc d’éducation ambitieuse et de culture partagée comme fondements.

Cette revue veut oser la démocratie.